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Compteur passif PTC-3 - Guide de l'utilisateur

Introduction

Le PTC-3 est un compteur peu coûteux à la fine pointe de la technologie qui permet de faire un décompte relativement précis du nombre de personnes passant par un point donné. Il a été conçu afin de résoudre plusieurs des problèmes liés à la détermination des niveaux d’utilisation des sentiers de randonnée pédestre et de promenade. Le PTC-3, un compteur passif à infrarouges à champ étroit, ne génère pas de faisceau infrarouge. Il « voit » plutôt les objets chauds qui passent à proximité. Cette méthode présente de nombreux avantages en ce qui concerne l’étude du niveau d’utilisation des sentiers :

-L’appel de courant de la pile est dramatiquement réduit. On estime la durée de vie des piles à 5 ans ou plus (10 ans pour compteurs prévieux à numéro 10101314).

-Comme on élimine les changements fréquents de pile, le sceau du boîtier demeure intact.

-Un des problèmes que posaient les anciens appareils à rupture de faisceau était leur champ très étroit (puisque le faisceau doit être focalisé), ce qui entraînait une tendance à compter de petits objets non désirés. Notre détecteur est délibérément défocalisé de façon à voir et à compter une seule « tache » d’infrarouge lorsqu’une personne passe à proximité. La résolution de l’appareil est suffisante pour lui permettre de distinguer deux promeneurs rapprochés. Les dénombrements parasites causées par des mouvements de bras ou d’autres mouvements sont pratiquement éliminés. Les rayons infrarouges radiés et réfléchis déclenchent le compteur - celui-ci regarde simplement le sentier devant lui avec son « oeil à infrarouges ».

-Contrairement aux compteurs passifs à champ large, le PTC-3 peut compter les passants très rapprochés, même lorsqu’ils circulent à haute vitesse, comme les cyclistes et les joggeurs.

-Le pointage de l’appareil est simple, puisqu’il n’est pas nécessaire d’aligner un faisceau, des miroirs ou des réflecteurs.

Mise à l’essai de l’appareil

-L’appareil est envoyé complètement chargé et branché à son détecteur infrarouge ponctuel SIS-3. Il est prêt à fonctionner après une ou deux minutes, le temps qu’il s’autocalibre sur le paysage d’arrière plan. Il faudra environ 5 minutes avant que l’appareil atteigne sa pleine sensibilité. Le compteur peut afficher un nombre élevé à sa réception, en raison de l’action microphonique des câbles pendant l’expédition.

-Placez le détecteur SIS-3 sur une table à l’intérieur ou dans un endroit pratique à l’extérieur. La portée peut être réduite à l’intérieur ou lorsque la température du paysage d’arrière-plan extérieur est élevée.

-Lorsqu’un nombre apparaît à l’écran peu après le pointage de l’appareil, cela signifie que l’autocalibrage est presque terminé.

-Si ce nombre n’apparaît pas, c’est que l’appareil est près du point de calibrage exact pour l’arrière-plan.

- Attendez plusieurs secondes pendant que l’appareil s’ajuste au paysage d’arrière plan. D’autres nombres peuvent apparaître à l’écran.

- Si l’appareil continue à compter à l’intérieur même lorsqu’il n’y a rien devant, placez-le dans un endroit où il y a moins de mouvements d’air chaud.

- Afin de mettre le compteur à l’essai, passez votre main devant le détecteur. L’appareil devrait compter correctement le nombre de passages de la main devant l’appareil. Des mouvements rapides pendant une courte période peuvent causer un retard dans le décompte, mais l’appareil devrait néanmoins indiquer le nombre exact de passages une ou deux secondes après l’arrêt des mouvements.

Montage du détecteur

-Le détecteur SIS-3 doit être monté à environ 1 mètre du point le plus rapproché où passeront les personnes à compter. Cette distance minimale de 1 mètre permet d’éviter de compter une personne deux fois lorsque celle-ci s’arrête pendant plusieurs secondes devant l’appareil puis s’éloigne. La portée utile de l’appareil est d’environ 5 mètres devant le détecteur ou plus si le paysage d’arrière-plan contraste bien avec les sujets aux longueurs d’ondes infrarouges. Le sentier peut donc avoir 4 mètres de largeur au point où les personnes sont comptées. Cependant, un sentier plus étroit permet de réduire le nombre de personnes marchant côte à côte et facilite donc le tri des personnes par l’appareil aux fins de dénombrement.

-Placez le viseur de l’appareil perpendiculairement au sentier à hauteur de taille d’une personne moyenne. Le paysage d’arrière-plan devant le détecteur doit être une zone relativement fraîche et à l’ombre et ne doit pas contenir d’objets pouvant être chauffés par le soleil ou déplacés par le vent, ce qui peut causer de faux dénombrements. Les véhicules peuvent aussi causer de faux dénombrements.

-On ne peut pratiquement rien faire pour empêcher les gros animaux, comme les chevreuils, de déclencher le compteur. Ceux-ci, tout comme les humains, semblent préférer passer par les sentiers entretenus plutôt que de s’empêtrer dans les bois. Cela peut toutefois être un avantage pour les photographes de la faune, puisque les détecteurs peuvent être modifiés afin de déclencher une caméra. Si l’on place le détecteur plus haut, l’appareil ne comptera pas les animaux qui peuvent marcher sous la zone de détection, mais ne pourra non plus compter les petits enfants.

-Il est préférable de dissimuler l’appareil à la vue des passants et de le protéger du vandalisme, du vol et des manipulations non autorisées. Certains clients nous ont signalé qu’un trou percé dans un arbre pouvait servir de support discret pour le détecteur, particulièrement si le viseur est placé dans un trou naturel, dans un noeud du tronc. Un gardien de parc a placé son détecteur dans une crevasse sur le côté d’un gros rocher, sous la mousse qu’il a laissée intacte. Un trou de 1 cm ou un peu moins est tout ce qu’il faut pour que le détecteur fonctionne. Le câble de trois mètres permet de placer l’écran d’affichage où il sera bien visible, même lorsque le détecteur est dissimulé.

Conseils d’utilisation

-Ne pas frapper ou brasser le câble du détecteur lorsque celui-ci fonctionne parce que l’action microphonique du câble risque de fausser les résultats. C’est là un des petits problèmes qui découle des améliorations que nous avons apportées au compteur pour réduire l’appel de courant de la pile.

-Cela signifie que le compteur ne doit pas être utilisé comme dispositif portatif. Il est préférable de le fixer avec des sangles ou, à tout le moins, de le placer à un endroit où il peut être lu sans qu’il soit nécessaire de le déplacer.

-Le temps nécessaire à l’autocalibrage est de 5 minutes si le détecteur a été déplacé, de 10 minutes si le détecteur a été débranché et de 20 minutes si la pile a été remplacée. Il n’est pas nécessaire d’additionner toutes ces périodes. Souvent, l’appareil recommencera à fonctionner normalement avant la période recommandée.

-Pour remettre le compteur à zéro, appuyer sur le bouton zéro en insérant un stylo-bille dans le petit trou près de l’écran à cristaux liquides (ACL). Ne pas utiliser d’objets pointus pour remettre l’appareil à zéro, puisque cela peut briser le seau et laisser pénétrer l’humidité.

-Il n’y a pas d’interrupteur. La pile devrait durer 5 ans ou plus. Elle est soudée en place.

-La durée de la vie de la pile n’augmente pas beaucoup lorsque le détecteur est débranché. Bien que celui-ci contienne un préamplificateur alimenté par la pile, le courant requis n’est que d’environ 1 microampère. La durée de conservation de la pile pourrait toutefois être le facteur limitant.

-Pour débrancher le détecteur du compteur sans effort, tourner l’anneau de blocage de quelques degrés vers la gauche et tirer sur la fiche. Ne pas tenter de tourner la fiche au complet. Celle-ci est munie de trois tiges qui s’engagent dans trois trous du réceptacle et ne peut pas tourner.

-Le détecteur doit être bien branché dans le compteur et l’anneau de blocage doit être serré lorsque l’appareil est exposé aux éléments. Un petit anneau d’étanchéité installé sur la fiche du câble du détecteur est un des éléments du mécanisme d’étanchéité de l’appareil. Enlever l’excès d’eau de la fiche et l’assécher à l’aide d’un chiffon avant de la brancher dans le compter après l’installation sur place. Par mauvais temps, tenter d’installer le tout sans débrancher le détecteur, en plaçant celui-ci par l’arrière.

-Si la membrane du bouton de remise à zéro appuie sur le bouton lorsque le compteur est placé à plus basse altitude, enlever la fiche du détecteur pendant quelques minutes afin d’équilibrer la pression à l’intérieur du boîtier avec la pression atmosphérique.

-Pour entreposer le compteur, laisser le détecteur branché ou emballer le compteur dans du papier d’aluminium afin de le protéger des décharges d’électricité statique. L’impédance d’entrée élevée de l’appareil (640 K) permet d’éliminer rapidement les faibles charges statiques, mais l’appareil ne peut supporter une grosse étincelle électrostatique.

-Ne pas passer le compteur à quelqu’un par la fenêtre d’un véhicule si le détecteur n’est pas branché, à moins de toucher la main de l’autre personne en premier afin de drainer l’électricité statique générée par le mouvement du véhicule. Lorsque le circuit est ouvert, l’électricité statique provenant du véhicule pourrait endommager ou détruire le compteur. Cela s’applique à tout moyen de transport avec des roues en caoutchouc. Un hélicoptère est habituellement libre d’électricité statique lorsque le train d’atterrissage en métal est en contact avec le sol. Cependant, lorsque l’hélicoptère est en vol stationnaire, pour décharger de l’équipement ou accueillir des passagers, et que le devant du train d’atterrissage touche un bout de bois sec (méthode utilisée à l’occasion lorsqu’il n’y a pas de surface plane pour atterrir), il risque d’y avoir des décharges d’électricité statique. Répétons : si vous avez laissé le détecteur sur le site et devez remettre uniquement le compteur à quelqu’un d’autre, faites une mise à la terre avec la personne recevant l’appareil (en lui touchant la main) avant de lui passer l’appareil. Les portes de métal et les pièces avec du tapis sont aussi des sources d’électricité statique.

-Dans près de 2 % des installations, on a signalé que des insectes avaient laissé des objets dans le conducteur de lumière du détecteur SIS-3, ce qui empêchait le décompte des randonneurs. Ce problème peut être résolu en plaçant simplement un morceau de pellicule plastique transparente sur l’extrémité du conducteur de lumière et en l’étirant afin d’éliminer les plis. Cela peut toutefois réduire un peu la portée. Nous laissons les conducteurs de lumière ouverts afin de maximiser le rendement optique, mais dans bien des cas, le rendement maximal n’est pas nécessaire. Il est possible de nettoyer les débris laissés par les insectes à l’aide d’un morceau de fil de métal, mais il ne faut pas éliminer la substance noire qui recouvre la moitié de la fenêtre à la base du conducteur ou le détecteur ne fonctionnera pas. Il est possible de réparer un détecteur où la substance noire a été éliminée en tirant sur le conducteur de lumière et en remplaçant la substance noire par du ruban liquide General Cement appliqué uniquement sur la moitié de la fenêtre. Se fier aux marques laissées par la substance afin de recouvrir la même moitié de la fenêtre. Laisser sécher le ruban liquide et replacer le conducteur de lumière.

Questions et réponses/Dépannage

Q. Pourquoi le compteur enregistre-t-il des randonneurs lorsqu’on brasse le câble du détecteur? S’agit-il d’une connexion lâche?

R. Non. Pour obtenir un rendement élevé de la pile, nous utilisons un circuit à impédance élevée et des niveaux de signal relativement bas. C’est pourquoi le câble peut agir comme un microphone amplificateur et enregistrer les sons qui se produisent lorsque le câble est brassé.

Q. Mon compteur enregistre un passage lorsque je passe ma main devant, même si le détecteur n’est pas branché. Pourquoi?

R. Lorsque le détecteur est débranché, l’entrée du compteur n’est plus protégée de l’électricité statique. Lorsque vous touchez le boîtier avec votre main, vous générez parfois plus d’électricité statique que le compteur peut éliminer, ce qui entraîne un dénombrement. Cette caractéristique peut être utilisée (avec douceur) pour changer l’affichage de zéro afin de pouvoir tester le bouton de remise à zéro lorsqu’il n’y a pas de détecteur.

Q. J’ai pointé mon détecteur SIS-3 vers un mur dans mon bureau. Celui-ci était à seulement 6 pouces du mur. Rien ne pouvait passer devant le détecteur, mais plusieurs heures plus tard, j’ai remarqué que le compteur affichait un nombre assez élevé. Qu’est-ce que le détecteur comptait?

R. Le détecteur voyait probablement les infrarouges réfléchis par le mur et comptait les personnes passant dans d’autres parties de la pièce.

Q. Comment l’appareil peut-il être utilisé pour déclencher une caméra? Je ne vois aucun branchement pour caméra sur l’appareil.

R. Dans les appareils normaux, le branchement pour le déclencheur de la caméra n’est pas sorti du boîtier afin de réduire les risques de bris d’étanchéité et le nombre de connexions exposées. Il faut de plus du matériel additionnel pour déclencher une caméra. Tous nos compteurs génèrent des signaux de déclenchement de caméra lorsqu’un sujet pénètre dans la zone de déclenchement, contrairement à la fonction de comptage, qui compte les sujets qui quittent la zone. Il est toutefois possible de personnaliser l’appareil afin de faire sortir ces signaux du boîtier de plastique, de les amplifier à l’extérieur et de les adapter à un appareil photographique donné.

Comment le compteur PTC-3 a vu le jour

Au milieu des années 1990, les employés du parc provincial Mount Robson en Colombie-Britannique cherchaient un moyen de déterminer combien de personnes utilisaient les différents sentiers pendant une période donnée. Ils devaient régulièrement remplacer les batteries d’automobiles des compteurs en les transportant par hélicoptère jusqu’aux sites de dénombrements loin dans la forêt, ce qui était très coûteux. Les autorités ont alors demandé à Carson Electronics si nous pouvions concevoir un compteur fiable consommant moins de courant.

Nous avons d’abord tenté de modifier le compteur à bris de faisceau traditionnel afin qu’il consomme moins de courant. Les résultats étaient relativement bons (d’autres compagnies ont depuis obtenu un appel de courant de 1 milliampère en adoptant un faisceau pulsé - une amélioration d’environ 200 pour 1 par rapport aux anciens modèles et mieux que ce que nous avons obtenu au cours de nos expériences avec un appareil à bris de faisceau.).

Nous n’avons pas retenu la solution du faisceau pulsé et avons plutôt décidé d’éliminer le faisceau, en créant un appareil capable de détecter l’image infrarouge devant lui. Nous avons choisi de conserver le plus possible la géométrique optique de l’ancien compteur à bris de faisceau. Le premier appareil, appelé PTC-1, permettait d’avoir un appel de courant de pile de 1 milliampère à 6 volts, mais était difficile à ajuster et peu fiable puisque ses capacités d’autocalibrage étaient entièrement optiques alors que les systèmes électroniques devaient être ajustés à la main.

Le système fonctionnait toutefois. Nous avons alors fait quelques modifications et ajusté le détecteur pour accroître ses capacités d’autocalibrage et pour renforcer le signal de sortie. De plus, un système électronique d’autocalibrage a été ajouté au circuit de comptage afin que l’appareil puisse s’adapter aux variations d’infrarouge du paysage d’arrière-plan qui déjouaient notre système d’autocalibrage optique. Le compteur fonctionnait tellement bien que nous avons décidé de le commercialiser, sous le nom PTC-2. Nous avons commencé à recevoir des rétroactions des utilisateurs et avons modifié de nouveau notre appareil. Nous l’avons rendu plus stable et en 1997, nous avons modifié sans frais tous les appareils sur le marché. Nous avons même ajouté les circuits du PTC-2 à l’unique PTC-1, qui est toujours utilisé à ce jour. La plupart des clients nous ont indiqué qu’ils aimeraient pouvoir compter à un endroit et lire le compteur ailleurs, si bien que nous avons cessé de mettre le compteur et le détecteur dans le même boîtier et avons placé le détecteur au bout d’un câble de 10 pieds. Le détecteur est alors devenu le détecteur infrarouge ponctuel SIS-3. Les changements apportés à la géométrie des conducteurs de lumières ont permis la création du SIS-3, qui se distingue par l’ajout d’un étui de métal autour de la partie active du détecteur. En 1998, des détecteurs SIS-2 et SIS-3 ont été fournis à tous les propriétaires de PTC-2 et les détecteurs internes de ces appareils ont été supprimés. Le PTC-2 mesurait environ 6 po x 6 po x 3 po et fonctionnait à l’aide d’une pile de 6 volts. L’appel de courant de la pile était encore de 1 milliampère et la pile durait environ 3 mois. L’écran d’affichage ACL avait ses propres piles qui devaient durer de 7 à 11 ans.

Nous avons ensuite consacré tous nos efforts afin de maximiser la fiabilité et de réduire l’appel de courant des piles de nos compteurs. Grâce à la technologie des systèmes à très faible puissance et à un affichage ACL plus petit, nous avons réussi à faire fonctionner tout l’appareil - détecteur, circuits de comptage et écran ACL à partir d’une seule pile au lithium tout en réduisant les besoins en alimentation à environ 8,5 microampères à 3 volts - une incroyable réduction de 94 000 pour 1 comparativement à l’ancien compteur à batterie de 12 volts et 200 milliampères utilisé dans les parcs de la C.-B. Nous avons trouvé des moyens de faire fonctionner nos détecteurs SIS-2 et SIS-3 à un niveau de puissance réduit tout en obtenant des signaux légèrement plus clairs. Cela à permis aux utilisateurs du PTC-2 de mettre leur appareil au niveau sans même avoir à déplacer le détecteur de l’endroit où il était caché. Le détecteur fonctionne très bien, en fait même mieux, avec ce nouveau système et est identique à tous les détecteurs construits depuis. Nous avons décidé, malgré la demande incroyablement faible en courant du nouveau circuit, d’utiliser une pile au lithium relativement grosse d’une capacité d’un ampère-heure afin d’alimenter le système. Nous estimons que la durée de vie de cette pile sera de plus de 10 ans. L’amplification et le filtrage des signaux ont aussi été améliorés en fonction de tout ce que nous avons appris sur les détecteurs d’utilisation de sentiers au cours des années. De plus, l’environnement électrique beaucoup plus silencieux des circuits du compteur, grâce au faible appel de courant de la pile, permet au PTC-3 de trier et de compter chaque personne une seule fois dans des conditions remarquablement difficiles. La taille du boîtier a aussi été grandement réduite, principalement en raison de l’élimination de la grosse batterie qui alimentait les PTC-2. Le produit résultant est le compteur passif PTC-3, notre produit le plus populaire par une marge de 10 pour 1. Depuis octobre 2000, tous les PTC-3 vendus contiennent la carte de circuits imprimés PTC-4, qui contient les mêmes circuits que les cartes précédentes, mais qui comporte des espaces pour l’affichage de la date et de l’heure et qui offre la possibilité d’ajouter une capacité de téléchargement de données dans l’avenir.

N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires et de vos suggestions.

Garantie

Le compteur passif PTC-3 et le détecteur infrarouge ponctuel SIS-3 sont tous deux garantis pour 15 mois suivant la date d’achat contre les pannes causées par des défauts des matériaux ou de fabrication. En cas de panne, Carson Electronics réparera ou remplacera l’appareil défectueux à ses frais. La garantie ne couvre pas le port et la manutention, ni les dommages physiques ou électriques (sauf lorsque ces dommages se produisent dans les locaux de Carson Electronics avant la livraison de l’appareil au client), les effets du climat, y compris les éclairs, les paysages d’arrière-plans inadéquats ou d’autres problèmes au lieu d’installation. Si deux combinaisons compteur-détecteur ne fonctionnent pas à un site donné et que notre examen révèle que les appareils fonctionnent bien, nous considérerons que le site d’installation est inadéquat, situation qui n’est pas couverte par la garantie. Les demandes de réparations couvertes par la garantie doivent être faites par téléphone ou par courriel et le client doit avoir obtenu notre autorisation avant de nous envoyer l’appareil.

Téléphone/Télécopieur : (250) 566-4694 (anglais seulement)

Courriel : carson.art@gmail.com (anglais ou français)

Rev.1.0
11/2006

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